Poupées russes normandes : La vie d’une famille à la campagne, 1935-1945

(6 avis client)

14,50

Lauréat du prix Inner Wheel, District Normandie, 2021.

1933. André, étudiant en médecine issu d’une famille bourgeoise, rencontre à la faculté Lucya, une jeune Russe. Rapidement très épris l’un de l’autre et contre l’avis de la famille d’André, ils décident de se marier. C’est lors de leur voyage de noces en Suisse normande que le couple, séduit par la région, décide de s’y installer. Quittant sans regret Paris et la perspective d’une brillante carrière de chirurgien, André reprend le cabinet du médecin de Pont-d’Ouilly, récemment décédé.
Après quelques tensions causées par ses origines, Lucya finit par s’intégrer à la vie du village. Elle donne naissance à deux enfants et découvre les plaisirs et joies de la vie rurale normande en tant qu’épouse d’un médecin de campagne.
Cependant son bonheur est mis en péril par les troubles politiques en Union soviétique comme en France. Le pays doit faire face à la menace que fait planer l’Allemagne sur l’Europe. La guerre éclate. Quand des soldats nazis arrivent dans le village, Lucya qui attend un troisième enfant, doit penser à la protection et à la survie de sa famille…
Jacqueline Coudière dépeint le quotidien du jeune médecin de campagne et de sa femme dans les années 30 et 40 avec sensibilité et exactitude, car bien que fictive, cette histoire est inspirée de faits réels.

UGS : 4847 Catégorie : Étiquette :

Description

Jacqueline Coudière

Jacqueline Coudière est née à Pont-d’Ouilly, le village même du roman. Très attachée à la Suisse normande – une grande source d’inspiration pour elle – elle y exerce d’abord le métier d’enseignante pendant 37 ans puis, une fois à la retraite, en 2006, s’investit dans la vie de sa commune, Saint-Germain-Langot. Elle est membre de l’Association des Écrivains de la Suisse normande. Poupées russes normandes est son deuxième roman après Le Secret des mots, paru en 2019, et La Légende du Lion de Pierre et autres histoires normandes, paru en 2022.

Informations complémentaires

ISBN

978-2-84706-7507

Nombre de pages

254

Année de parution

2021

Dimensions

140 x 225 mm

6 avis pour Poupées russes normandes : La vie d’une famille à la campagne, 1935-1945

  1. P.Cyprien

    Jacqueline Coudière peut se rassurer : on n’est pas déçu, mais emporté par son roman.

  2. Simone Hyenne Riethmuller

    J’ai lu le roman de Jacqueline Coudière “Poupées russes normandes”. C’est un roman où l’intensité des sentiments, des émotions et de la vie quotidienne des personnages principaux nous fait (re)vivre une époque que nos pères et mères ont vécue et dont ils nous ont si peu parlé. Un roman qui donne fortement envie de (re)découvrir Pont d’Ouilly et la Suisse normande.

  3. Joachim

    Après avoir dévoré le premier roman de Jacqueline Coudière,, Le secret des mots, que j’ai adoré, je viens de terminer à l’instant les Poupées russes normandes.
    Excellent également, plus un peu dans le registre saga familiale, l’histoire, la passion, la famille, la Suisse normande et nos valeurs profondes sont à l’honneur. Merci Jacqueline pour cette évasion même si cette époque charrie aussi beaucoup de souvenirs tristes. Un fidèle lecteur…

  4. CADEL Philippe

    j’ai adoré ce roman. Cette histoire familiale est passionnante et met en valeur la Suisse Normande, superbe travail de recherche qui nous fait vivre passionnément ces heures sombres et ses tristes souvenirs. Vivement le troisième ouvrage ! .

  5. CADEL Philippe

    j’ai adoré ce roman. Admirablement bien documenté, il nous fait revivre la vie d’un médecin de campagne pendant les heures sombres de la guerre et nous fait partager la vie quotidienne d’un village de la Suisse Normande. Le personnage de Lucya est très très attachant.Vivement le prochain roman !

  6. Patrick

    J’ai refermé la dernière page des poupées russes, il y a peu de temps. Juste le temps de laisser infuser, décanter, pour te livrer en quelques mots ce que cette histoire a laissé en moi… De la tendre nostalgie, cette âme slave qu’on perçoit dans qui tu es… J’ai adoré cette histoire de matriochka… ces “couches générationnelles” où l’empreinte de l’une imprégne le destin de l’autre. De l’histoire et une histoire… Cette idée de poupée russe m’a évidemment conduit à envisager cet aspect des choses : qui sommes-nous? Et plus on pèle les couches de l’oignon, plus on s’approche de son propre noyau, l’essentiel en soi. Je retiens une phrase comme une image de cette grande saga, “Lucya fixait le contenu de sa tasse : la couleur de la tisane lui remit en mémoire ces tâches brunâtres qui obsèdaient sa pensée.” La trace… c’est absolument nécessaire de prendre en compte celles et ceux dont on est issu pour simplement devenir. L’actualité malheureusement nous conduit là encore dans ces frasques, en cela ton roman est une leçon de vie.

Ajouter un Avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous aimerez peut-être aussi…